À l’occasion de la Journée mondiale de prévention du suicide, le 10 septembre, l’Agence régionale de santé Auvergne-Rhône-Alpes rappelle l’importance d’une mobilisation collective pour prévenir les comportements suicidaires et renforcer les dispositifs d’accompagnement des personnes en détresse psyc…
Déclarée Grande Cause Nationale 2025, la santé mentale fait désormais l’objet d’une feuille de route régionale dédiée, à l’issue d’un travail de concertation large auprès des acteurs concourant à cette politique.
Cet automne, les nourrissons d’Auvergne-Rhône-Alpes bénéficieront d’une protection renforcée contre la bronchiolite. Le ministère de la santé et de l’accès aux soins a décidé d’avancer au 1er septembre 2025 le coup d’envoi de la campagne nationale de prévention, afin d’anticiper la circulation du v…
À partir du 1er septembre 2025, trois nouvelles maladies rares graves sont intégrées au programme national de dépistage néonatal : l’amyotrophie spinale, les Déficits immunitaires combinés sévères (DICS) et le déficit en VLCAD. Un enjeu majeur de détection et de prise en charge précoce.
Le PICS-p (Post-Intensive Care Syndrome in Pediatrics) ou syndrome post-réanimation pédiatrique désigne un ensemble de symptômes apparaissant dans les suites d’un séjour en soins critiques pédiatriques. Il peut entraîner des limitations d’activité, altérer la qualité de vie de l’enfant et de sa famille et désorganiser le schéma familial. Les symptômes peuvent concerner l’enfant et/ou ses parents, et/ou sa fratrie, et/ou l’entourage familial proche. Le diagnostic doit être évoqué devant tout symptôme apparaissant de novo, persistant ou s’aggravant au décours d’une hospitalisation en soins critiques pédiatriques, en particulier chez les patients à risque. Le dépistage du PICS-p concerne tous les professionnels de santé amenés à voir l’enfant, particulièrement dans l’année qui suit l’admission en soins critiques pédiatriques. L’interrogatoire et l’examen clinique peuvent à eux seuls orienter vers un PICS-p. Un certain nombre de facteurs de risque ont été identifiés avant, pendant, à la sortie/après les soins critiques pédiatriques.
Face à la hausse des besoins en soins et à la baisse de la démographie médicale, les établissements de santé recourent de plus en plus au personnel non permanent, dont l’usage a doublé entre 2017 et 2023. Cette flexibilité répond aux absences et surcharges, mais comporte des risques liés à la méconnaissance des procédures et à la coordination des équipes. La HAS a donc analysé les événements indésirables graves associés à cette pratique pour mieux prévenir ces risques.
Programme, RIHN, séquençage haut débit ciblé, génétique constitutionnelle postnatale.
L’objectif de la RBP est de proposer des recommandations de bonne pratique pour la surveillance médico-professionnelle des travailleurs en âge de procréer ou des travailleuses enceintes, exposés à des agents toxiques pour la reproduction appelée par la suite « reprotoxiques », en déterminant la place de l’action en milieu de travail réalisée par le SPST ainsi que du suivi médical individuel Cette RBP est destinée aux professionnels qui sont en contact direct avec les enfants, adolescents et jeunes adultes avec TSA dans leurs différentes activités et lieux de vie, ou qui interviennent dans leur suivi et leur accompagnement. Les autres destinataires de la RBP sont le mineur ou le jeune adulte ayant un TSA et son entourage.